Château Cheval

  ''Moi, je me souviens des portes gigantesques et de cet escalier sans fin ... J'avoue quand même avoir eu un peu peur dans ce château quand on y jouait'' (Souvenir de Anne  

  ''Moi, je me souviens des portes gigantesques et de cet escalier sans fin ... J'avoue quand même avoir eu un peu peur dans ce château quand on y jouait'' (Souvenir de Anne  

  Gregoir)

  Gregoir)

1966 : quatre ans après la mort du châtelain Raymond Demanet (le gendre de Léon Cheval), le château fut vendu par ses cinq enfants. Le castel n'étant plus habité, il menaçait ruine. Il faut dire que son entretien était particulièrement onéreux. Un des petits-fils du châtelain, le docteur Jean-Claude Demanet se souvient qu'il fallait pas moins de deux à trois wagons de chemin de fer remplis de charbon pour chauffer cet immense volume. De plus, les ardoises du toit commençaient à s'envoler et comme le château était situé très près de la chaussée, il constituait un véritable danger pour les automobilistes. Et en février 1966, il tombait sous la pioche des démolisseurs. Voir l'article du [http://archives.lesoir.be/il-y-a-trente-ans-on-demolissait-le-chateau-de-mont-sai_t-19960220-Z0APYM.html Soir du 20 février 1996]

1966 : quatre ans après la mort du châtelain Raymond Demanet (le gendre de Léon Cheval), le château fut vendu par ses cinq enfants. Le castel n'étant plus habité, il menaçait ruine. Il faut dire que son entretien était particulièrement onéreux. Un des petits-fils du châtelain, le docteur Jean-Claude Demanet se souvient qu'il fallait pas moins de deux à trois wagons de chemin de fer remplis de charbon pour chauffer cet immense volume. De plus, les ardoises du toit commençaient à s'envoler et comme le château était situé très près de la chaussée, il constituait un véritable danger pour les automobilistes. Et en février 1966, il tombait sous la pioche des démolisseurs. Voir l'article du [http://archives.lesoir.be/il-y-a-trente-ans-on-demolissait-le-chateau-de-mont-sai_t-19960220-Z0APYM.html Soir du 20 février 1996]