Grand-Route
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| - | Anciennement boulevard des Déportés. Voir aussi [[Place de la Gare de Lillois]], [[Gare de Lillois]], [[Rue Comte Jacques de Meeûs]], [[Rue du Jacquier]], [[Rue René Francq]], [[Rue du Moulin]], [[Rue de la Libération]], [[Etablissements Delmotte]], [[Rue Raymond Lebleux]], [[Accident ferroviaire 27/02/1975]], [[Rue Mottet]], [[Rue de l'Epine Pucelle]], [[Rue du Baty]], [[Rue du Berger]], [[Rue du Cours d'Eau]], [[Fête de la Saint-Jean]], [[Rue Rivelaine]] | + | Anciennement boulevard des Déportés. Voir aussi [[Place de la Gare de Lillois]], [[Gare de Lillois]], [[Rue Comte Jacques de Meeûs]], [[Rue du Jacquier]], [[Rue René Francq]], [[Rue du Moulin]], [[Rue de la Libération]], [[Etablissements Delmotte]], [[Rue Raymond Lebleux]], [[Accident ferroviaire 27/02/1975]], [[Rue Mottet]], [[Rue de l'Epine Pucelle]], [[Rue du Baty]], [[Rue du Berger]], [[Rue du Cours d'Eau]], [[Fête de la Saint-Jean]], [[Rue Rivelaine]], [[Ecole communale des garçons de Lillois]] |
Jean-Marie Laus : ''"Grand-Route qui traverse Lillois et Witterzée de manière rectiligne depuis 1754 lorsqu’elle fut reconstruite par la ville de Nivelles. Auparavant, son tracé était sinueux, passant derrière les actuelles maisons tantôt à gauche, tantôt à droite de la rue. De nos jours, cet ancien tracé est encore visible à quelques endroits. Elle porta la dénomination de Boulevard des Déportés entre le 18 octobre 1920 (décision du conseil communal) et l’arrivée des troupes allemandes lors de la seconde guerre mondiale qui firent retirer les plaques de rue du Boulevard des Déportés. Elle relie la chaussée de Nivelles (Braine-l’Alleud) à la chaussée de Bruxelles (Baulers/Nivelles). On dénombre 24 habitations en 1850, 58 en 1875, 87 en 1900, 110 en 1918, 135 en 1930, 138 en 1940, 143 en 1950, 168 en 1960, 176 en 1970, 188 en 1980, 193 en 1990, 197 en 1995 et 200 en 2022."'' | Jean-Marie Laus : ''"Grand-Route qui traverse Lillois et Witterzée de manière rectiligne depuis 1754 lorsqu’elle fut reconstruite par la ville de Nivelles. Auparavant, son tracé était sinueux, passant derrière les actuelles maisons tantôt à gauche, tantôt à droite de la rue. De nos jours, cet ancien tracé est encore visible à quelques endroits. Elle porta la dénomination de Boulevard des Déportés entre le 18 octobre 1920 (décision du conseil communal) et l’arrivée des troupes allemandes lors de la seconde guerre mondiale qui firent retirer les plaques de rue du Boulevard des Déportés. Elle relie la chaussée de Nivelles (Braine-l’Alleud) à la chaussée de Bruxelles (Baulers/Nivelles). On dénombre 24 habitations en 1850, 58 en 1875, 87 en 1900, 110 en 1918, 135 en 1930, 138 en 1940, 143 en 1950, 168 en 1960, 176 en 1970, 188 en 1980, 193 en 1990, 197 en 1995 et 200 en 2022."'' | ||
