Anciens Brainois
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Piraux Maurice : né à Barbençon, le 18 janvier 1928 et décédé à Bruxelles le mardi 3 janvier 1989. Fils de Piraux Firmin et de Coppin Jeanne. Epoux de Castiaux Simone. Père de Piraux Jean-François (né le 16 juillet 1954), Bernadette (née le 9 mars 1956), Béatrice (née le 31 janvier 1958) et Roseline (née le 4 septembre 1962). Docteur en droit. A écrit "C'est la ville qui nous envie". A habité [[Chaussée d'Alsemberg]], [[Rue Longue]], [[Avenue Napoléon]] et [[Avenue des Coquelicots]]. | Piraux Maurice : né à Barbençon, le 18 janvier 1928 et décédé à Bruxelles le mardi 3 janvier 1989. Fils de Piraux Firmin et de Coppin Jeanne. Epoux de Castiaux Simone. Père de Piraux Jean-François (né le 16 juillet 1954), Bernadette (née le 9 mars 1956), Béatrice (née le 31 janvier 1958) et Roseline (née le 4 septembre 1962). Docteur en droit. A écrit "C'est la ville qui nous envie". A habité [[Chaussée d'Alsemberg]], [[Rue Longue]], [[Avenue Napoléon]] et [[Avenue des Coquelicots]]. | ||
+ | Pleunes Gustave : né à Bruges en 1863, diplômé de l'Ecole Normale, il obtient le poste d'instituteur à l'Ecole Communale du Centre à Braine-l'Alleud. Au décès de Constant-J. Schepers, il devient instituteur en chef puis Chef d'Ecole. Engagé socialement, il fonde, en 1901, avec le député Alphonse Allard, l'"Union syndicale des maçons et aide-maçons". | ||
+ | Artiste reconnu, maniant le fusain et la peinture, il a laissé de nombreuses aquarelles représentant les coins typiques de la commune à la fin du 19è siècle. | ||
+ | La Royale Harmonie de Braine-l'Alleud, dont il fut le secrétaire durant 50 ans, le conduisit à sa dernière demeure, en 1950. La presse du lendemain a dit de lui : "Il a passé en faisant le bien". | ||
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+ | Pleunes Lucien : fils cadet de Gustave Pleunes, est né à Braine-l'Alleud en 1899 et y est décédé en 1989. | ||
+ | On retiendra son maïorat (1953 - 1955) durant lequel il se montra un bourgmestre "compétent, distingué et aimable"; il présida entre autres les cérémonies de jumelage de Braine avec Ouistreham-Riva-Bella en 1954. | ||
+ | On ignore plus souvent qu'il fut également capitaine de l'équipe de football du Racing White où il joua de 1923 à 1925. | ||
+ | Fortement engagé politiquement, il fut l'un des piliers du Socialisme en Brabant wallon. Ecrivain et chroniqueur, il publia - le plus souvent sous un pseudonyme - de nombreux "papiers" d'actualité ou historiques. | ||
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