Anciens Brainois

'''Castiaux Justinien''' : né à Lillois le 3 novembre 1886 et décédé à Braine-l'Alleud le 18 décembre 1944. Epoux de Parvais Anna.

'''Castiaux Justinien''' : né à Lillois le 3 novembre 1886 et décédé à Braine-l'Alleud le 18 décembre 1944. Epoux de Parvais Anna.

'''Castiaux Marcel :'''  né à Braine-l'Alleud le 2 février 1915 et décédé à La Hulpe (clinique Docteur Derscheid), le mardi 25 janvier 1994. Fils de Castiaux Omer et de Ghysebrechts Augusta.

'''Castiaux Marcel :'''  né à Braine-l'Alleud le 2 février 1915 et décédé à La Hulpe (clinique Docteur Derscheid), le mardi 25 janvier 1994. Fils de Castiaux Omer et de Ghysebrechts Augusta.

Castiaux Robert : né à Braine-l'Alleud, le 23 février 1918 et décédé à Uccle le 8 novembre 1980. Fils de Castiaux Omer et de Ghysebrechts Augusta. Frère de Castiaux Marcel, Ernest, Jules, Raymond, Etienne, Marie-Madeleine, Edmond, Simone et André. Epoux de van Velsen Fernande. Ancien combattant 1940-1945, titulaire de distinctions honorifiques. A habité [[Rue Joseph Gos]].

Castiaux Robert : né à Braine-l'Alleud, le 23 février 1918 et décédé à Uccle le 8 novembre 1980. Fils de Castiaux Omer et de Ghysebrechts Augusta. Frère de Castiaux Marcel, Ernest, Jules, Raymond, Etienne, Marie-Madeleine, Edmond, Simone et André. Epoux de van Velsen Fernande. Ancien combattant 1940-1945, titulaire de distinctions honorifiques. A habité [[Rue Joseph Gos]].

'''Chabeau Philibert :''' né à Braine-l'Alleud, le 1er septembre 1829 et y décédé le 18 octobre 1908. Epoux de Orlans Anne-Marie.Entrepreneur de pavages résidant au Ménil (actuelle rue Longchamp).Sa première ferme brûla le mardi 9 mars 1875, entrainant l'incendie des deux maisons voisines, appartenant aux familles Orlans et Naverne.Son beau-père Joseph Guillaume Orlans décéda deux jours plus tard,âgé de 77 ans. Tout fut rebâti par François Naverne également époux Orlans, dans l'année même. Philibert Chabeau exploitait de nombreuses terres au Ménil et au Longchamp, produisant principalement des céréales et des betteraves. Son entreprise de pavages fut reprise par son fils Casimir Chabeau qui fit construire la maison de Mlle Marien chaussée de Mont-Saint-Jean (actuelle chaussée Reine Astrid n°102).

'''Chabeau Philibert :''' né à Braine-l'Alleud, le 1er septembre 1829 et y décédé le 18 octobre 1908. Epoux de Orlans Anne-Marie.Entrepreneur de pavages résidant au Ménil (actuelle rue Longchamp).Sa première ferme brûla le mardi 9 mars 1875, entrainant l'incendie des deux maisons voisines, appartenant aux familles Orlans et Naverne.Son beau-père Joseph Guillaume Orlans décéda deux jours plus tard,âgé de 77 ans. Tout fut rebâti par François Naverne également époux Orlans, dans l'année même. Philibert Chabeau exploitait de nombreuses terres au Ménil et au Longchamp, produisant principalement des céréales et des betteraves. Son entreprise de pavages fut reprise par son fils Casimir Chabeau qui fit construire la maison de Mlle Marien chaussée de Mont-Saint-Jean (actuelle chaussée Reine Astrid n°102).

'''Clerbois Charles''' : né à Braine-l'Alleud le 24 avril 1901 et y décédé le 31 octobre 1941. Epoux de Marie Grislain. Habitait rue Jean Volders et était géomètre.

'''Clerbois Charles''' : né à Braine-l'Alleud le 24 avril 1901 et y décédé le 31 octobre 1941. Epoux de Marie Grislain. Habitait rue Jean Volders et était géomètre.

'''Cloquet Edouard-Joseph-Ghislain:''' né à Braine-l'Alleud le 24 mars 1821 et y décédé le 6 avril 1901.Fils de Jean-Joseph Cloquet (1771-1841) et de Marie Joseph Derbaix. Il grandit à la ferme Mont-Souhait (sur la chaussée de Nivelles ferme rose en face du restaurant Marit)puis à la ferme du Mol. Dans cette dernière, il devient un éleveur réputé, fervent de concours tant agricoles (une des meilleurs pour l'élève des génisses et jeunes taureaux de la région) que sportifs. Il sera à l'avant-pointe du progrès scientifiques en matière de cycle des cultures.Son frère aîné, Jean-Baptiste Cloquet (1808-1891)lui servira de modèle. Par son parenté maternelle, il restera sensible à la foi chrétienne, par son père et son frère aîné, il s'inscrit dans un courant progressiste et se faire élire comme conseiller communal libéral de 1872 à 1875. Il revient à la vie politique en 1887, sur l'insistance de nombreux amis, tant libéraux que comme modérateur par rapport à la sensibilité catholique. Il devient échevin et le restera jusqu'à 1895. En 1890, il remplace souvent Achille Wayez (bourgmestre) à la présidence du collège échevinal. Il fera fonction de Bourgmestre de 1891 à 1895, étant le seul libéral que le gouvernement catholique acceptait comme personnalité recevant l'agrément des deux sensibilités. Frère de Cloquet Antoinette à qui il a laissé tous ses biens meubles et immeubles le jour de son décès.

'''Cloquet Edouard-Joseph-Ghislain:''' né à Braine-l'Alleud le 24 mars 1821 et y décédé le 6 avril 1901.Fils de Jean-Joseph Cloquet (1771-1841) et de Marie Joseph Derbaix. Il grandit à la ferme Mont-Souhait (sur la chaussée de Nivelles ferme rose en face du restaurant Marit)puis à la ferme du Mol. Dans cette dernière, il devient un éleveur réputé, fervent de concours tant agricoles (une des meilleurs pour l'élève des génisses et jeunes taureaux de la région) que sportifs. Il sera à l'avant-pointe du progrès scientifiques en matière de cycle des cultures.Son frère aîné, Jean-Baptiste Cloquet (1808-1891)lui servira de modèle. Par son parenté maternelle, il restera sensible à la foi chrétienne, par son père et son frère aîné, il s'inscrit dans un courant progressiste et se faire élire comme conseiller communal libéral de 1872 à 1875. Il revient à la vie politique en 1887, sur l'insistance de nombreux amis, tant libéraux que comme modérateur par rapport à la sensibilité catholique. Il devient échevin et le restera jusqu'à 1895. En 1890, il remplace souvent Achille Wayez (bourgmestre) à la présidence du collège échevinal. Il fera fonction de Bourgmestre de 1891 à 1895, étant le seul libéral que le gouvernement catholique acceptait comme personnalité recevant l'agrément des deux sensibilités. Frère de Cloquet Antoinette à qui il a laissé tous ses biens meubles et immeubles le jour de son décès.

Copain Louis : né à Braine-l'Alleud, le 12 septembre 1891 et tombé pour la patrie à Rotselaer (nord de Leuven), le 12 septembre 1914. Fils de Copain Charles et de Michel Louisa. Soldat au 1er régiment des Grenadiers. Son corps n'a pas été retrouvé.

Copain Louis : né à Braine-l'Alleud, le 12 septembre 1891 et tombé pour la patrie à Rotselaer (nord de Leuven), le 12 septembre 1914. Fils de Copain Charles et de Michel Louisa. Soldat au 1er régiment des Grenadiers. Son corps n'a pas été retrouvé.

Croquet Adrien : [[Mgr Adrien Croquet]]

Croquet Adrien : [[Mgr Adrien Croquet]]