Anciens Brainois
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'''Jacob Marie-Louise (Loulou)''' : née à Braine-l'Alleud, le 26 avril 1925 et y décédée, le samedi 26 mai 1990. Epouse de Pays Ernest. Mère de Pays Yves, Anne et Dominique. A habité Chaussée Reine Astrid. | '''Jacob Marie-Louise (Loulou)''' : née à Braine-l'Alleud, le 26 avril 1925 et y décédée, le samedi 26 mai 1990. Epouse de Pays Ernest. Mère de Pays Yves, Anne et Dominique. A habité Chaussée Reine Astrid. | ||
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+ | '''Jacobs Edmond''' Jean Baptiste : né à Braine-l'Alleud le 16 novembre 1855 (Goëtte) et y décédé (avenue Léon Jourez 53) le 15 mars 1938. Fils de Jean-Baptiste Jacobs et de Anne-Marie Poulet. Industriel sous la direction de son père, il édifie les bâtiments de tissages qui agrandissent l'ancienne teinturerie en blanc sur coton familiale et situés près de la rivière le Hain (actuel Carimar).Sous sa direction, cette entreprise devient la fabrique de tissus Jacobs Frères. Il épouse Catherine Linard en 1880, et ont deux filles, Odile et Clara Jacobs. | ||
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+ | '''Jacobs Jean-Baptiste''': né à Braine-l'Alleud le 16 octobre 1820 et y décédé (Goëtte) le 30 janvier 1899. Elevé par sa mère Suzanne Jacobs, il devient blanchisseur de toiles de coton chez Henri Elmer qui travaille sur le site actuel des entreprises Carimar. | ||
+ | Il devient ensuite patron teinturier et n'a de cesse d'améliorer ses connaissances en matière de commerce et d'industrie. Avec son fils Edmond Jacobs, il fonde ainsi la maison du Blanc sur coton Jacobs père et fils vers 1875- 80. Il aura deux épouses : Amélie de Hennault et Anne-Marie Poulet et de nombreux enfants, dont Edmond industriel et Léon conseiller communal et échevin, bourgmestre de Braine-l'Alleud de 1912 à 1921. Il fut militant libéral, mais aussi fervent croyant, conseiller communal libéral de 1882 à 1895. Président de l'Association des anciens militaires sous Léopold 1er de 1896 à son décès. | ||
'''Joniaux Ignace''' : né à Braine-l'Alleud le 29 mars 1812 et y décédé le 13 mars 1900 (à 22 heures). Fils de Théodore Joniaux et de Jeanne Ipersiel. Menuisier et cordonnier, il est le connu comme le dernier combattant volontaire brainois des journées de la Révolution Belge de 1830. Le dernier, puisqu'il était le plus jeune, mais aussi, le dernier survivant brainois de cette épopée sociale et politique. Entré rapidement à l'Harmonie de Braine, il lui revient l'honneur de chanter la Brabançonne lors de toutes les manifestations officielles. Il est nommé comme Président de la Société de Militaires décorés, enrôlés sous le règne de Léopold Ier. Il est un des trois volontaires mis à l'honneur lors de la remise officielle du drapeau de cette société par le Ministre de la Guerre Brassinne, le 23 août 1896. Il a résidé presque toute sa vie à Braine-l'Alleud, et à Genappe pendant quelques années au début de son mariage (aux alentours de 1840). Il était propriétaire du numéro 10 de la rue du Château. | '''Joniaux Ignace''' : né à Braine-l'Alleud le 29 mars 1812 et y décédé le 13 mars 1900 (à 22 heures). Fils de Théodore Joniaux et de Jeanne Ipersiel. Menuisier et cordonnier, il est le connu comme le dernier combattant volontaire brainois des journées de la Révolution Belge de 1830. Le dernier, puisqu'il était le plus jeune, mais aussi, le dernier survivant brainois de cette épopée sociale et politique. Entré rapidement à l'Harmonie de Braine, il lui revient l'honneur de chanter la Brabançonne lors de toutes les manifestations officielles. Il est nommé comme Président de la Société de Militaires décorés, enrôlés sous le règne de Léopold Ier. Il est un des trois volontaires mis à l'honneur lors de la remise officielle du drapeau de cette société par le Ministre de la Guerre Brassinne, le 23 août 1896. Il a résidé presque toute sa vie à Braine-l'Alleud, et à Genappe pendant quelques années au début de son mariage (aux alentours de 1840). Il était propriétaire du numéro 10 de la rue du Château. |