Anciens Brainois
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'''Botte Michel''' : né à Bois-Seigneur-Isaac le 13 février 1925 et fusillé par les Allemands à Maransart le 5 septembre 1944. Fils de Botte Georges et de Viseur Léonie. Membre de l'Armée Secrète pendant la guerre 40-45. La [[Rue Michel Botte]] porte son nom en son souvenir. | '''Botte Michel''' : né à Bois-Seigneur-Isaac le 13 février 1925 et fusillé par les Allemands à Maransart le 5 septembre 1944. Fils de Botte Georges et de Viseur Léonie. Membre de l'Armée Secrète pendant la guerre 40-45. La [[Rue Michel Botte]] porte son nom en son souvenir. | ||
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+ | '''Boucqueau Charles-Albert''' Ghislain : né à Lillois-Witterzée le 5 mai 1840 et décédé à Bruxelles le 4 janvier 1893. Fils de Colin Boucqueau et de Florentine Dineur. Né dans la Ferme de la Neuve-Cour dont ses parents restent fermiers durant leur vie, Charles-Albert appartient au groupe familial des cultivateurs et propriétaires ancrés à Waterloo (ferme de Mont-Saint-Jean), Lillois, Nivelles et Genappe.Son père Colin Boucqueau rachète en 1852 la propriété des étangs de la Légère Eau à Prosper Gouttier avec quelques autres biens voisins. C'est ensuite sa veuve et ses fils qui s'y établissent. Charles-Albert y vivra seul à partir de son mariage avec Norbertine Cloquet en 1864. Ce bref mariage tourne à la tragédie, la jeune épouse décédant de la tuberculose la même année. Il se remarie avec Flore Philippe, native d'Arquennes (fille de cultivateurs)et c'est avec elle qu'il aura son seul enfant, Achille Boucqueau. Propriétaire à Braine-l'Alleud, il achète d'autres biens sur le territoire de la commune. En 1881, il se présente sur la liste libérale aux élections communales. Elu conseiller, il le reste jusqu'en 1890. Il est même, temporairement, échevin entre le 25 septembre 1886 et le début de 1888. Il est à la base de la création du Serment de l'Arc du Ménil en 1886. | ||
'''Bourdon Emile''' François : né à Braine-l'Alleud (propriété Gouttier Bourdon) le 19 août 1869 et y décédé le 27 juillet 1929. Fils d'Henri Bourdon de Maria Glibert, fit ses études primaires sous la direction de Constant Schepers, puis poursuit des études moyennes à Bruxelles. Devient industriel en 1894, lors de la transformation de l'immeuble familial en deux parties, il fonde la teinturerie Bourdon qui réalise les apprêts des pièces des tissages voisins (Gérard, Jacobs, Cornil). Il est aussi volontiers chasseur, comme le sont les propriétaires de l'autre maison de campagne au Ménil, les Boucqueau. Après la première guerre mondiale et étant resté célibataire, il cesse toute activité professionnelle, vivant de son fonds. Sa succession ouvrira une grave crise familiale qui aboutira en 1955 à l'aliénation de la propriété en faveur de la Compagnie intercommunale bruxelloise des Eaux. | '''Bourdon Emile''' François : né à Braine-l'Alleud (propriété Gouttier Bourdon) le 19 août 1869 et y décédé le 27 juillet 1929. Fils d'Henri Bourdon de Maria Glibert, fit ses études primaires sous la direction de Constant Schepers, puis poursuit des études moyennes à Bruxelles. Devient industriel en 1894, lors de la transformation de l'immeuble familial en deux parties, il fonde la teinturerie Bourdon qui réalise les apprêts des pièces des tissages voisins (Gérard, Jacobs, Cornil). Il est aussi volontiers chasseur, comme le sont les propriétaires de l'autre maison de campagne au Ménil, les Boucqueau. Après la première guerre mondiale et étant resté célibataire, il cesse toute activité professionnelle, vivant de son fonds. Sa succession ouvrira une grave crise familiale qui aboutira en 1955 à l'aliénation de la propriété en faveur de la Compagnie intercommunale bruxelloise des Eaux. |