Rue Jean Volders
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"Masserée" vient du latin "maceria" qui veut dire "village ravagé" et suppose l'existence de vestiges gallo-romains. Pour rappel, des vestiges gallo-romains ont été découverts, en 1993, au bout de la rue Légère Eau avant le carrefour avec la rue Longchamp. Source : [["Braine-l'Alleud - Origine des noms des lieux-dits et des rues" par Gaston Philippe (Editions Quorum - 1997)]] | "Masserée" vient du latin "maceria" qui veut dire "village ravagé" et suppose l'existence de vestiges gallo-romains. Pour rappel, des vestiges gallo-romains ont été découverts, en 1993, au bout de la rue Légère Eau avant le carrefour avec la rue Longchamp. Source : [["Braine-l'Alleud - Origine des noms des lieux-dits et des rues" par Gaston Philippe (Editions Quorum - 1997)]] | ||
| - | 1915 : vente de la ferme du Houzart (voir ci dessous) à Omer Lécrivain (natif de Notre-Dame Louvignies). | + | 1915 : vente de la ferme du Houzart (voir ci-dessous) à Omer Lécrivain (natif de Notre-Dame Louvignies). |
1936: Victor Fiévet fait construire un nouvel atelier pour ses "Fonderies du Ménil" à front de la rue, à côté du pont du chemin de fer. L'activité s'y poursuivra jusqu'en décembre 1969. Source : "Glanures au fil du temps (Fascicule n°37)" Association du Musée de Braine-l'Alleud (1996) | 1936: Victor Fiévet fait construire un nouvel atelier pour ses "Fonderies du Ménil" à front de la rue, à côté du pont du chemin de fer. L'activité s'y poursuivra jusqu'en décembre 1969. Source : "Glanures au fil du temps (Fascicule n°37)" Association du Musée de Braine-l'Alleud (1996) | ||
