Anciens Brainois
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'''Devrais Antoine''' : né à Braine-l'Alleud le 27 novembre 1829 et y décédé le 21 octobre 1896. D'abord ouvrier teinturier chez Jean-Baptiste Jacobs, il devient commerçant en ouvrant dans les années 1870, une pâtisserie et confiserie réputée au coin de la grand-place et de la rue du Môle (n° 2). Son fils reprendra ce commerce. Epoux de Jeannette Olivet. | '''Devrais Antoine''' : né à Braine-l'Alleud le 27 novembre 1829 et y décédé le 21 octobre 1896. D'abord ouvrier teinturier chez Jean-Baptiste Jacobs, il devient commerçant en ouvrant dans les années 1870, une pâtisserie et confiserie réputée au coin de la grand-place et de la rue du Môle (n° 2). Son fils reprendra ce commerce. Epoux de Jeannette Olivet. | ||
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+ | '''Devroede Gustave''' : né à Braine-l'Alleud le 5 mai 1877 et décédé à Uccle le 12 décembre 1956. Epoux de Van Volsem Jeanne-Marie (née à Rhode-Saint-Genèse, le 12 février 1880). Papa de Devroede Anne-Marie (née le 9 septembre 1904), Devroede Josepha-Pauline (née le 18 janvier 1907) et Devroede Joseph (né le 27 novembre 1915) qui sera élève, professeur puis directeur au Collège Cardinal Mercier. | ||
'''Devroede René''': né à Tubize le 3 décembre 1877 et décédé à Braine-l'Alleud le 18 avril 1952. Epoux de Anna Marie Ghislaine Hazard (3 décembre 1873- 9 février 1955) il s'installe à la [[Rue des Tisserands]] reprenant la boulangerie de son beau-père. Il y exercera son métier jusqu'au début de la seconde guerre mondiale. Il fut membre puis vice-président (après la démission fracassante de l'industriel Jules Gérard début 1927) du cercle libéral Le Progrès. Ancien boulanger, il préside aussi les dîners de la Saint-Aubert après guerre et jusqu'en 1951. Père de Désiré Devroede et grand-père de René Devroede, également patrons boulangers. | '''Devroede René''': né à Tubize le 3 décembre 1877 et décédé à Braine-l'Alleud le 18 avril 1952. Epoux de Anna Marie Ghislaine Hazard (3 décembre 1873- 9 février 1955) il s'installe à la [[Rue des Tisserands]] reprenant la boulangerie de son beau-père. Il y exercera son métier jusqu'au début de la seconde guerre mondiale. Il fut membre puis vice-président (après la démission fracassante de l'industriel Jules Gérard début 1927) du cercle libéral Le Progrès. Ancien boulanger, il préside aussi les dîners de la Saint-Aubert après guerre et jusqu'en 1951. Père de Désiré Devroede et grand-père de René Devroede, également patrons boulangers. |