Anciens Brainois
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Il fut le membre de la famille Gouttier le plus populaire avec son neveu Hilaire senior. Il affectionnait les Brainois, tels quels. Ses minutes notariales sont constellées d'annotations intéressantes. Sa soeur a rédigé, sur sa dictée, ses mémoires des faits importants et anecdotiques qu'il aimait à retracer. Un des grands noms aujourd'hui méconnus des brainois contemporains, et pour cause : jamais aucun édile communal n'a depuis la fin de la première guerre mondiale proposé son nom pour incarner une artère de la commune !!! Suprême injustice des successeurs, qui sera, espérons-le, un jour réparée. | Il fut le membre de la famille Gouttier le plus populaire avec son neveu Hilaire senior. Il affectionnait les Brainois, tels quels. Ses minutes notariales sont constellées d'annotations intéressantes. Sa soeur a rédigé, sur sa dictée, ses mémoires des faits importants et anecdotiques qu'il aimait à retracer. Un des grands noms aujourd'hui méconnus des brainois contemporains, et pour cause : jamais aucun édile communal n'a depuis la fin de la première guerre mondiale proposé son nom pour incarner une artère de la commune !!! Suprême injustice des successeurs, qui sera, espérons-le, un jour réparée. | ||
- | '''Gouttier Hilaire''' : né à Braine-l'Alleud le 2 mai | + | '''Gouttier Hilaire''' : né à Braine-l'Alleud le 2 mai 1828 et y décédé le 18 juin 1895. Fils de Sylvain Gouttier et de Marie (Josephe Victoire Ghilaine) Dumonceau. Epoux de Boonaerts Elisa dont il aura deux fils, Hilaire et Victor et une fille Elisabeth Gouttier. |
Notaire, il succéda à son oncle Félix Gouttier en 1868 et fut élu conseiller communal libéral du 1er janvier 1867 à son décès sans interruption . Il était présenté comme candidat à la nomination comme bourgmestre de Braine-l'Alleud à l'issue des élections communales d'octobre 1890, mais le ministère de l'intérieur écarta cette proposition. Ce fut Edouard Cloquet qui fit fonction de Bourgmestre. Les luttes entre libéraux et catholiques étaient alors en pleine force. Président effectif de la Société Royale d'Harmonie de 1868 à son décès. Il laisse un excellent souvenir chez les Brainois, très impartial, chaleureux mais avec beaucoup de tact et de respect des opinions. Il est le second membre de la famille Gouttier le plus remarquable du XIXème siècle. | Notaire, il succéda à son oncle Félix Gouttier en 1868 et fut élu conseiller communal libéral du 1er janvier 1867 à son décès sans interruption . Il était présenté comme candidat à la nomination comme bourgmestre de Braine-l'Alleud à l'issue des élections communales d'octobre 1890, mais le ministère de l'intérieur écarta cette proposition. Ce fut Edouard Cloquet qui fit fonction de Bourgmestre. Les luttes entre libéraux et catholiques étaient alors en pleine force. Président effectif de la Société Royale d'Harmonie de 1868 à son décès. Il laisse un excellent souvenir chez les Brainois, très impartial, chaleureux mais avec beaucoup de tact et de respect des opinions. Il est le second membre de la famille Gouttier le plus remarquable du XIXème siècle. | ||
'''Jossart Marcelle''' : née à Braine-l'Alleud le 27 juillet 1931 et décédée le 30 janvier 1935. Fille du docteur Jossart ...... et de Schneider ....... | '''Jossart Marcelle''' : née à Braine-l'Alleud le 27 juillet 1931 et décédée le 30 janvier 1935. Fille du docteur Jossart ...... et de Schneider ....... | ||
- | '''Jourez Léon''' : né à Braine-l'Alleud le 12 décembre 1857 et décédé le 21 décembre 1945 à Saint-Gilles-lez-Bruxelles. Fils de Jourez Lambert et de Mercier Eugénie. Frère de Jourez Eugène. Epoux de Lorent Aurore avec laquelle il s'est marié le 22 juin 1892. Papa de Jourez Nelly. Conseiller communal, conseiller provincial, échevin, bourgmestre (de 1900 à 1904), député,...libéral. L'[[Avenue Léon Jourez]] porte son nom. Pour plus d'infos, voir l'article de | + | '''Jourez Léon''' : né à Braine-l'Alleud le 12 décembre 1857 et décédé le 21 décembre 1945 à Saint-Gilles-lez-Bruxelles. Fils de Jourez Lambert et de Mercier Eugénie. Frère de Jourez Eugène. Epoux de Lorent Aurore avec laquelle il s'est marié le 22 juin 1892. Papa de Jourez Nelly. Conseiller communal, conseiller provincial, échevin, bourgmestre (de 1900 à 1904), député,...libéral. L'[[Avenue Léon Jourez]] porte son nom. Pour plus d'infos, voir l'article de Philippe Buchelot dans la "Revue Brania" (2007/2) pages 10 à 14. |
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'''Kégelart Julma''' : né à Braine-l'Alleud le 31 octobre 1895 et y décédée le 15 février 1971. Fille cadette de François Kégelart et de Julie Gervy. Elle épouse le 18 mars 1924 Fernand Bilande dont elle aura 7 enfants. Réside avenue Albert Ier n°14 à partir de son mariage. | '''Kégelart Julma''' : né à Braine-l'Alleud le 31 octobre 1895 et y décédée le 15 février 1971. Fille cadette de François Kégelart et de Julie Gervy. Elle épouse le 18 mars 1924 Fernand Bilande dont elle aura 7 enfants. Réside avenue Albert Ier n°14 à partir de son mariage. | ||
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'''Kempen Denise''' : née à Woluwe-Saint-Pierre le 26 décembre 1930 et décédée à Braine-l'Alleud le 1er novembre 2009. Epoux de Hublau Raymond. Mère de Hublau Liliane, Roland, Christian et Laurence. | '''Kempen Denise''' : née à Woluwe-Saint-Pierre le 26 décembre 1930 et décédée à Braine-l'Alleud le 1er novembre 2009. Epoux de Hublau Raymond. Mère de Hublau Liliane, Roland, Christian et Laurence. | ||
'''Lucas Joseph''' : né à Bruxelles, le 18 juin 1854 et décédé à Braine-l'Alleud, le 14 décembre 1914. Epoux de Arcolie Marie. | '''Lucas Joseph''' : né à Bruxelles, le 18 juin 1854 et décédé à Braine-l'Alleud, le 14 décembre 1914. Epoux de Arcolie Marie. | ||
+ | Cultivateur et cabaretier au Ménil, rue du Longchamp actuelle. | ||
'''Lussier Mathieu''' : né à Braine-l'Alleud, le 29 juillet 1994 et y décédé le 3 mai 2011. Fils de Lussier Pascal et De Rycke Natacha. Frère de Lussier Jonathan, Julien, Benoit et Dorian. | '''Lussier Mathieu''' : né à Braine-l'Alleud, le 29 juillet 1994 et y décédé le 3 mai 2011. Fils de Lussier Pascal et De Rycke Natacha. Frère de Lussier Jonathan, Julien, Benoit et Dorian. | ||
'''Melin Célina''' : née à Braine-l'Alleud, le 20 septembre 1859 et y décédée le 4 novembre 1921. Epouse de Pernelle Emile. Mère de Pernelle Eveline et Pernelle Adeline | '''Melin Célina''' : née à Braine-l'Alleud, le 20 septembre 1859 et y décédée le 4 novembre 1921. Epouse de Pernelle Emile. Mère de Pernelle Eveline et Pernelle Adeline | ||
- | '''Mercier Désiré''': né à Peissant (province de Hainaut) le 27 janvier 1805 et décédé à Saint-Gilles (Bruxelles) le 20 novembre 1884. Docteur en médecine, diplômé à Louvain et reçu médecin le 16 juillet 1828, il vient s'installer à Braine-l'Alleud et est rapidement intégré et apprécié par ses concitoyens. Il répand la pratique de la vaccination et prend des mesures prophylactiques pour éviter la propagation des maladies contagieuses. Braine peut ainsi éviter une mortalité accrue lors de la crise du choléra en été 1832, en isolant les malades dans une propriété de Prosper Gouttier (au ménil). Il milite aussi en politique et est échevin dès 1836. Il devient Bourgmestre au décès d'Edouard Gouttier en 1850, fonction qu'il assume jusqu'en 1856.C'est sous sa direction que l'ensemble des sources de la commune sont concédées pour leur exploitation par la ville de Bruxelles, début d'une période de travaux parfois vécus difficilement par les habitants, mais période d'enrichissement aussi pour les Brainois possesseurs des terrains concernés par ces travaux. Actif au sein du conseil provincial, dont il occupera la vice-présidence, il réside ensuite principalement à Bruxelles, tout en gardant un quartier chez son ami Edouard Cloquet dans sa ferme du Môle. Il sera co-fondateur de l'Institut provincial des Sourds- Muets et d'Aveugles du Brabant situé à Berchem -St-Agathe. Epoux d'Elise-Jeanne (Elisa) Franceschini, il aura pour seul descendant Alfred Mercier, lequel sera d'abord voyageur de commerce, puis deviendra officier de l'Armée, et notamment sert dans l'escorte personnelle de la reine Marie-Henriette épouse de Léopold II. | + | '''Mercier Désiré''': né à Peissant (province de Hainaut) le 27 janvier 1805 et décédé à Saint-Gilles, avenue Fonsny (Bruxelles) le 20 novembre 1884. Docteur en médecine, diplômé à Louvain et reçu médecin le 16 juillet 1828, il vient s'installer à Braine-l'Alleud et est rapidement intégré et apprécié par ses concitoyens. Il répand la pratique de la vaccination et prend des mesures prophylactiques pour éviter la propagation des maladies contagieuses. Braine peut ainsi éviter une mortalité accrue lors de la crise du choléra en été 1832, en isolant les malades dans une propriété de Prosper Gouttier (au ménil). Il milite aussi en politique et est échevin dès 1836. Il devient Bourgmestre au décès d'Edouard Gouttier en 1850, fonction qu'il assume jusqu'en 1856.C'est sous sa direction que l'ensemble des sources de la commune sont concédées pour leur exploitation par la ville de Bruxelles, début d'une période de travaux parfois vécus difficilement par les habitants, mais période d'enrichissement aussi pour les Brainois possesseurs des terrains concernés par ces travaux. Actif au sein du conseil provincial, dont il occupera la vice-présidence, il réside ensuite principalement à Bruxelles, tout en gardant un quartier chez son ami Edouard Cloquet dans sa ferme du Môle. Il sera co-fondateur de l'Institut provincial des Sourds- Muets et d'Aveugles du Brabant situé à Berchem -St-Agathe. Epoux d'Elise-Jeanne (Elisa) Franceschini, il aura pour seul descendant Alfred Mercier, lequel sera d'abord voyageur de commerce, puis deviendra officier de l'Armée, et notamment sert dans l'escorte personnelle de la reine Marie-Henriette épouse de Léopold II. |
'''Mercier Désiré-Joseph''' ([[Cardinal Désiré-Joseph Mercier]]): né à Braine-l'Alleud, au château du Castegier, le 22 novembre 1851 et décédé à la rue des Cendres à Bruxelles, le 23 janvier 1926. Cinquième des 9 enfants de Mercier Paul-Léon-Hubert et de Croquet Anne-Marie-Barbe. Certainement la personnalité la plus considérable que notre commune ait connu. La renommée internationale de notre Cardinal a traversé l'Atlantique, ses positions fermes, philosophiquement autant que politiquement, face à l'occupant pendant la Première Guerre Mondiale ont donné à notre Désiré brainois une stature désormais historique. | '''Mercier Désiré-Joseph''' ([[Cardinal Désiré-Joseph Mercier]]): né à Braine-l'Alleud, au château du Castegier, le 22 novembre 1851 et décédé à la rue des Cendres à Bruxelles, le 23 janvier 1926. Cinquième des 9 enfants de Mercier Paul-Léon-Hubert et de Croquet Anne-Marie-Barbe. Certainement la personnalité la plus considérable que notre commune ait connu. La renommée internationale de notre Cardinal a traversé l'Atlantique, ses positions fermes, philosophiquement autant que politiquement, face à l'occupant pendant la Première Guerre Mondiale ont donné à notre Désiré brainois une stature désormais historique. | ||
'''Mercier Félicien''' : né à Braine-l'Alleud le 23 janvier 1801 (4 pluviôse de l'an IX) et y décédé le 12 novembre 1883. Fils de Mercier Hubert,fonctionnaire du cadastre, et de François Marie épicière. Il fut le commandant en second des volontaires de 1830, étant parent proche du capitaine Alexis François. Il reçut la croix commémorative de 1830 pour sa participation aux combats de septembre 1830. Fut le parrain actif et dévoué du [[Cardinal Désiré-Joseph Mercier]]. Vers 1850, signalé comme tanneur et propriétaire de bâtiments situés dans la rue Bayard (Actuel magasin du photographe Olivier Stourme ainsi que la grande maison voisine). Il fut aussi le président de la société d'Harmonie de Braine-l'Alleud de 1850 à 1862. Deux fils, Louis et Ernest. De ce dernier il y eut une descendance. | '''Mercier Félicien''' : né à Braine-l'Alleud le 23 janvier 1801 (4 pluviôse de l'an IX) et y décédé le 12 novembre 1883. Fils de Mercier Hubert,fonctionnaire du cadastre, et de François Marie épicière. Il fut le commandant en second des volontaires de 1830, étant parent proche du capitaine Alexis François. Il reçut la croix commémorative de 1830 pour sa participation aux combats de septembre 1830. Fut le parrain actif et dévoué du [[Cardinal Désiré-Joseph Mercier]]. Vers 1850, signalé comme tanneur et propriétaire de bâtiments situés dans la rue Bayard (Actuel magasin du photographe Olivier Stourme ainsi que la grande maison voisine). Il fut aussi le président de la société d'Harmonie de Braine-l'Alleud de 1850 à 1862. Deux fils, Louis et Ernest. De ce dernier il y eut une descendance. | ||
- | '''Mercier François-Joseph''' : né à Braine-l'Alleud, le 24 janvier 1771, décédé le 18 juillet 1841. Aîné des six enfants de Mercier François-Joseph et de Tumerelle Marie-Françoise. Epoux de Hulet Marie-Thérèse-Ghislaine. Eut 6 enfants dont Mercier Paul-Léon-Hubert père de Mercier Désiré-Félicien-François-Joseph,le [[Cardinal Désiré-Joseph Mercier]]. Percepteur des contributions, secrétaire de canton, maire de Braine-l'Alleud pendant 34 ans, conseiller provincial du Brabant. | + | '''Mercier François-Joseph''' : né à Braine-l'Alleud, le 24 janvier 1771, décédé le 18 juillet 1841. Aîné des six enfants de Mercier François-Joseph et de Tumerelle Marie-Françoise. Epoux de Hulet Marie-Thérèse-Ghislaine. Eut 6 enfants dont Mercier Paul-Léon-Hubert père de Mercier Désiré-Félicien-François-Joseph,le [[Cardinal Désiré-Joseph Mercier]]. Fonctionnaire inspecteur du Cadastre pendant l'Empire,Percepteur des contributions, secrétaire de canton, maire de Braine-l'Alleud pendant 34 ans (selon la tradition familiale, mais dans la réalité fut surtout l'homme-clé durant le mayorat de son beau-frère Panquin, d'origine française), conseiller provincial du Brabant. Il sera notamment le négociateur avisé lors des tractations entre Braine-l'Alleud et Waterloo concernant la séparation des biens des deux communes, restées indivis depuis la création de Waterloo en 1796. Le partage intervint en 1840. Ce fut sa dernière grande tâche administrative. |
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'''Mercier Paul'''-Léon-Hubert : né à Braine-l'Alleud, le 19 juillet 1808 et y décédé le 11 décembre 1858. Cinquième des 6 enfants de Mercier François-Joseph et de Hulet Marie-Thérèse-Ghislaine. Epoux de Croquet Anne-Marie-Barbe avec laquelle il se maria, le 10 octobre 1842. Père de Mercier Estelle (née le 6 août 1843), Emérence (née le 15 décembre 1845), Clara (née le 16 juillet 1848), Léontine (née le 1er mars 1850), Désiré-Joseph (né le 22 novembre 1851), Jeanne (née le 29 octobre 1853), un enfant né prématurément et mort le jour de sa naissance), Elise (née le 3 février 1856) et Léon (né le 15 juin 1857). Artiste-peintre, élève de Navez. Négociant et industriel. Prit part à la Révolution de 1830. | '''Mercier Paul'''-Léon-Hubert : né à Braine-l'Alleud, le 19 juillet 1808 et y décédé le 11 décembre 1858. Cinquième des 6 enfants de Mercier François-Joseph et de Hulet Marie-Thérèse-Ghislaine. Epoux de Croquet Anne-Marie-Barbe avec laquelle il se maria, le 10 octobre 1842. Père de Mercier Estelle (née le 6 août 1843), Emérence (née le 15 décembre 1845), Clara (née le 16 juillet 1848), Léontine (née le 1er mars 1850), Désiré-Joseph (né le 22 novembre 1851), Jeanne (née le 29 octobre 1853), un enfant né prématurément et mort le jour de sa naissance), Elise (née le 3 février 1856) et Léon (né le 15 juin 1857). Artiste-peintre, élève de Navez. Négociant et industriel. Prit part à la Révolution de 1830. | ||
'''Piraux Maurice :''' né à Barbençon, le 18 janvier 1928 et décédé à Bruxelles le mardi 3 janvier 1989. Fils de Piraux Firmin et de Coppin Jeanne. Epoux de Castiaux Simone. Père de Piraux Jean-François (né le 16 juillet 1954), Bernadette (née le 9 mars 1956), Béatrice (née le 31 janvier 1958) et Roseline (née le 4 septembre 1962). Docteur en droit. A écrit "C'est la ville qui nous envie". A habité [[Chaussée d'Alsemberg]], [[Rue Longue]], [[Avenue Napoléon]] et [[Avenue des Coquelicots]]. | '''Piraux Maurice :''' né à Barbençon, le 18 janvier 1928 et décédé à Bruxelles le mardi 3 janvier 1989. Fils de Piraux Firmin et de Coppin Jeanne. Epoux de Castiaux Simone. Père de Piraux Jean-François (né le 16 juillet 1954), Bernadette (née le 9 mars 1956), Béatrice (née le 31 janvier 1958) et Roseline (née le 4 septembre 1962). Docteur en droit. A écrit "C'est la ville qui nous envie". A habité [[Chaussée d'Alsemberg]], [[Rue Longue]], [[Avenue Napoléon]] et [[Avenue des Coquelicots]]. | ||
- | '''Pleunes Gustave :''' né à Bruges | + | '''Pleunes Gustave :''' né à Bruges le 13 octobre 1863, décédé le 10 août 1950 à Braine-l'Alleud. Diplômé de l'Ecole Normale , il obtient le poste d'instituteur à l'Ecole Communale du Centre à Braine-l'Alleud en 1883. Au décès de Constant-J. Schepers, il devient instituteur en chef puis Chef d'Ecole. Engagé socialement, il fonde, en 1901, avec le député Alphonse Allard, l'"Union syndicale des maçons et aide-maçons". Il fut aussi le premier instituteur communal à donner des cours de néerlandais, étant parfait bilingue dès l'enfance. Professeur également à l'Ecole Industrielle de Braine-l'Alleud. |
Artiste reconnu, maniant le fusain et la peinture, il a laissé de nombreuses aquarelles représentant les coins typiques de la commune à la fin du 19è siècle. | Artiste reconnu, maniant le fusain et la peinture, il a laissé de nombreuses aquarelles représentant les coins typiques de la commune à la fin du 19è siècle. | ||
La Royale Harmonie de Braine-l'Alleud, dont il fut le secrétaire durant 50 ans, le conduisit à sa dernière demeure, en 1950. La presse du lendemain a dit de lui : "Il a passé en faisant le bien". | La Royale Harmonie de Braine-l'Alleud, dont il fut le secrétaire durant 50 ans, le conduisit à sa dernière demeure, en 1950. La presse du lendemain a dit de lui : "Il a passé en faisant le bien". | ||
+ | Il épousa Elisabeth Hancq dont il eut deux fils, Maurice et Lucien Pleunes. | ||
- | '''Pleunes Lucien :''' fils cadet de Gustave Pleunes, est né à Braine-l'Alleud en 1899 et y est décédé en 1989. | + | '''Pleunes Lucien :''' fils cadet de Gustave Pleunes et d'Elisabeth Hancq, est né à Braine-l'Alleud en 1899 et y est décédé en 1989. |
On retiendra son maïorat (1953 - 1955) durant lequel il se montra un bourgmestre "compétent, distingué et aimable"; il présida entre autres les cérémonies de jumelage de Braine avec Ouistreham-Riva-Bella en 1954. | On retiendra son maïorat (1953 - 1955) durant lequel il se montra un bourgmestre "compétent, distingué et aimable"; il présida entre autres les cérémonies de jumelage de Braine avec Ouistreham-Riva-Bella en 1954. | ||
On ignore plus souvent qu'il fut également capitaine de l'équipe de football du Racing White où il joua de 1923 à 1925. | On ignore plus souvent qu'il fut également capitaine de l'équipe de football du Racing White où il joua de 1923 à 1925. | ||
'''Sansterre Justinien''' : né à Braine-l'Alleud, le 29 mai 1866 et y décédé le lundi 9 décembre 1912. Epoux de Castiaux Coralie. Décoré de la Médaille industrielle de 2ème classe. | '''Sansterre Justinien''' : né à Braine-l'Alleud, le 29 mai 1866 et y décédé le lundi 9 décembre 1912. Epoux de Castiaux Coralie. Décoré de la Médaille industrielle de 2ème classe. | ||
- | '''Schepers Constant-Joseph''' : né à Grez-Doiceau en février 1849 et décédé à Braine-l'Alleud, le 2 mars 1909. Libre-penseur. Il fut nommé instituteur à Braine en 1869 et le resta jusqu'à son décès. Il fut: collaborateur aux journaux Wallonia et l'Annonce Brabançonne, membre fondateur du cercle libéral "Le Progrès" en 1884 lors d'une réunion qui se tint chez Albert Daye à l'Estrée,[[Chaussée d'Alsemberg]],ainsi que président du cercle pédagogique cantonal. Il a publié plusieurs livres soit à finalité pédagogique, soit à vocation culturelle tels que son récit de la bataille de Waterloo (1894) et un réputé almanach brainois (1891) . Dans le cimetière du centre, un mémorial rappelle également son souvenir, il a été élevé sur sa tombe par ses anciens amis et élèves en octobre 1909. | + | '''Schepers Constant-Joseph''' : né à Grez-Doiceau en février 1849 et décédé à Braine-l'Alleud, le 2 mars 1909. Libre-penseur. Il fut nommé instituteur à Braine en 1869, puis instituteur en chef en 1874 et le resta jusqu'à son décès. Il fut: collaborateur aux journaux Wallonia et l'Annonce Brabançonne, membre fondateur du cercle libéral "Le Progrès" en 1884 lors d'une réunion qui se tint chez Albert Daye à l'Estrée,[[Chaussée d'Alsemberg]],ainsi que président du cercle pédagogique cantonal. Il a publié plusieurs livres soit à finalité pédagogique, soit à vocation culturelle tels que son récit de la bataille de Waterloo (1894) et un réputé almanach brainois (1891) . Dans le cimetière du centre, un mémorial rappelle également son souvenir, il a été élevé sur sa tombe par ses anciens amis et élèves en octobre 1909. |
'''Scocaert Elisa''' : née à Braine-l'Alleud le 23 septembre 1854 et y décédée le 28 avril 1911. Epouse de Van Cabeke Victor. | '''Scocaert Elisa''' : née à Braine-l'Alleud le 23 septembre 1854 et y décédée le 28 avril 1911. Epouse de Van Cabeke Victor. |