Anciens Brainois
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'''Wery Emile''' : né à Ohain le 20 janvier 1846 et décédé à Braine-l'Alleud le 25 décembre 1912 . Marchand de volaille, veuf à 29 ans de Joséphine Denuit, il s'installe à Braine tout d'abord au 19 rue Sainte-Anne puis fait bâtir la maison formant l'angle de la place Sainte-Anne et de l'actuelle rue des Croix de Feu en 1876. | '''Wery Emile''' : né à Ohain le 20 janvier 1846 et décédé à Braine-l'Alleud le 25 décembre 1912 . Marchand de volaille, veuf à 29 ans de Joséphine Denuit, il s'installe à Braine tout d'abord au 19 rue Sainte-Anne puis fait bâtir la maison formant l'angle de la place Sainte-Anne et de l'actuelle rue des Croix de Feu en 1876. | ||
Il y installe un commerce de grains qui passera ensuite à son beau-fils Oscar Desmet. De son mariage avec Elisabeth Faignoy, il aura 3 filles, Julie (qui épousera Oscar Desmet), Jeanne et Marie-Adrienne. Il réside après 1900, rue Schépers (alors rue de l'enseignement). | Il y installe un commerce de grains qui passera ensuite à son beau-fils Oscar Desmet. De son mariage avec Elisabeth Faignoy, il aura 3 filles, Julie (qui épousera Oscar Desmet), Jeanne et Marie-Adrienne. Il réside après 1900, rue Schépers (alors rue de l'enseignement). | ||
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+ | '''Wayez Adolphe''' : né à Braine-l'Alleud le 21 février 1833 et décédé à Ottignies le 25 septembre 1907. Fils de Pierre Joseph Wayez et de Célestine Capitte. Ingénieur civil, Adolphe Wayez a dirigé deux charbonnages de la région de Charleroi. Il a aussi exercé le métier d'agent de change à Bruxelles. Il a été domicilié à Braine-l'Alleud avec son frère le bourgmestre Achille Wayez jusqu'en 1888, et réside deux ans dans la capitale. Il épouse ensuite,le 23 décembre 1890, la veuve d'Hector Sébastien Lorant, Louise Delinte, 16 ans plus jeune que lui, et vient se fixer à Sart-Dames-Avelines où habite son épouse. Il sera l'attentif beau-père d'une fille Aurore Lorant, qui épousera deux ans plus tard, le conseiller provincial, plus tard député, Léon Jourez,et de son jeune frère Gaston Lorant. Il décède sans descendance personnelle, mais Léon Jourez fut considéré comme son héritier.Son enterrement civil à Braine-l'Alleud le fit passer pour un franc-maçon, mais après recherche, aucune appartenance n'a pu être prouvée. Des trois frères Wayez, seul l'aîné Emile, à été effectivement membre d'une obédience maçonnique. Rédaction : Ph.B. Source pour le détail sur la franc-maçonnerie : renseignement fourni par Joseph Tordoir auteur de nombreux ouvrages et d'une thèse sur les libéraux en Brabant Wallon. 1996. | ||
'''Wayez Achille''' : né à Braine-l'Alleud le 6 janvier 1839 et y décédé le 8 avril 1905. Fils de Pierre Wayez et de Célestine Capitte. Son frère aîné Emile étant un des membres fondateurs de la Ligue de l'Enseignement (mouvement de promotion des connaissances laîques et scientifiques fondé en 1864) Achille milite parmi les premiers libéraux sensibles à la séparation des pouvoirs civils et religieux. Il se porte candidat sur la liste libérale en octobre 1866 et est élu conseiller communal. Sa candidature de Bourgmestre est validée par le Gouvernement (arrêté royal en date du 20 mars 1867). Lors des toutes premières réunions du collège échevinal, puis du conseil communal, il présente un dossier visant à introduire au bureau de la poste de Braine les livrets d'épargne ouvrière. En tant que président du Bureau de Bienfaisance, il fait abolir la coutume de soumettre en place publique l'entretien des enfants abandonnés au "moins disant" (la commune réduisant ainsi sa charge financière dans l'obligation légale nommée : domicile de secours). | '''Wayez Achille''' : né à Braine-l'Alleud le 6 janvier 1839 et y décédé le 8 avril 1905. Fils de Pierre Wayez et de Célestine Capitte. Son frère aîné Emile étant un des membres fondateurs de la Ligue de l'Enseignement (mouvement de promotion des connaissances laîques et scientifiques fondé en 1864) Achille milite parmi les premiers libéraux sensibles à la séparation des pouvoirs civils et religieux. Il se porte candidat sur la liste libérale en octobre 1866 et est élu conseiller communal. Sa candidature de Bourgmestre est validée par le Gouvernement (arrêté royal en date du 20 mars 1867). Lors des toutes premières réunions du collège échevinal, puis du conseil communal, il présente un dossier visant à introduire au bureau de la poste de Braine les livrets d'épargne ouvrière. En tant que président du Bureau de Bienfaisance, il fait abolir la coutume de soumettre en place publique l'entretien des enfants abandonnés au "moins disant" (la commune réduisant ainsi sa charge financière dans l'obligation légale nommée : domicile de secours). |