"Le 1815"

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[[Fichier:Hdchcr_(6).jpg|600px|thumb|right| Maison qui s'élevait avant 1903 à cet emplacement.]]
[[Fichier:Hdchcr_(6).jpg|600px|thumb|right| Maison qui s'élevait avant 1903 à cet emplacement.]]
[[Fichier:Hdchcr03.jpg|400px|thumb|left|Jean-Baptiste Bovri (arrière-arrière-grand-père de Véronique Denis) dans son Musée du Chemin Creux en 1903. Collection : Véronique Denis.]]
[[Fichier:Hdchcr03.jpg|400px|thumb|left|Jean-Baptiste Bovri (arrière-arrière-grand-père de Véronique Denis) dans son Musée du Chemin Creux en 1903. Collection : Véronique Denis.]]
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[[Fichier:Gmchcr06.jpg|600px|thumb|right| Véronique Denis:''"Carte extrêmement rare du musée de mon arrière-arrière grand-père Jean-Baptiste Bovri et de son épouse Rosine Pirson. Cliché de 1904. Sur le mur, pub : deux bâtons croisés : fabrique de cannes et bâtons en bois véritable du pays... la mode de l'époque et j'imagine les nombreux touristes qui se pressaient pour les acheter..."''.]]
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[[Fichier:Hdmonu03.jpg|600px|thumb|right| 1903. Véronique Denis : ''"J'ai retrouvé cette photo inédite et unique du musée du chemin creux qui au début (création en 1895) avait pour enseigne : "Musée réel des souvenirs du champ de bataille de Waterloo - entrée libre". Photo prise et envoyée en 1903 par un Parisien appelé Gohard (à gauche). Il habitait à la rue Balagny, appelée maintenant rue Guy Môquet). Au centre mon arrière-arrière grand-père Jean-Baptiste Bovri, le fondateur du musée. A droite, mon arrière-grand-père Victor Charlier né au hameau de Vieux-Manant à Vieux-Genappe (ses grands-parents occupaient en 1815 la ferme derrière le musée du Caillou, dernier quartier général de Napoléon). Sur le pas de la porte du restaurant des monuments qui vient d'être construit, sa femme, Marie Bovri. Leur fille, ma grand-mère Marie-Marguerite Charlier ne naîtra que 2 ans plus tard, en 1905..."'' Collection : Véronique Denis.]]
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[[Fichier:Hdmonu03.jpg|600px|thumb|left| 1903. Véronique Denis : ''"J'ai retrouvé cette photo inédite et unique du musée du chemin creux qui au début (création en 1895) avait pour enseigne : "Musée réel des souvenirs du champ de bataille de Waterloo - entrée libre". Photo prise et envoyée en 1903 par un Parisien appelé Gohard (à gauche). Il habitait à la rue Balagny, appelée maintenant rue Guy Môquet). Au centre mon arrière-arrière grand-père Jean-Baptiste Bovri, le fondateur du musée. A droite, mon arrière-grand-père Victor Charlier né au hameau de Vieux-Manant à Vieux-Genappe (ses grands-parents occupaient en 1815 la ferme derrière le musée du Caillou, dernier quartier général de Napoléon). Sur le pas de la porte du restaurant des monuments qui vient d'être construit, sa femme, Marie Bovri. Leur fille, ma grand-mère Marie-Marguerite Charlier ne naîtra que 2 ans plus tard, en 1905..."'' Collection : Véronique Denis.]]
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[[Fichier:Gmchcr06.jpg|600px|thumb|left| Véronique Denis:''"Carte extrêmement rare du musée de mon arrière-arrière grand-père Jean-Baptiste Bovri et de son épouse Rosine Pirson. Cliché de 1904. Sur le mur, pub : deux bâtons croisés : fabrique de cannes et bâtons en bois véritable du pays... la mode de l'époque et j'imagine les nombreux touristes qui se pressaient pour les acheter..."''.]]
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[[Fichier:Mchcr14.jpg|400px|thumb|left| Carte écrite le 13 mars 1914. Editeur : Jean-Baptiste Bovri, musée du Chemin Creux. Collection : Jean-François Piraux.]]
[[Fichier:Mchcr14.jpg|400px|thumb|left| Carte écrite le 13 mars 1914. Editeur : Jean-Baptiste Bovri, musée du Chemin Creux. Collection : Jean-François Piraux.]]
[[Fichier:Hdmonu19.jpg|600px|thumb|right| 1919. Véronique Denis : ''"Une relation indubitable existe entre ma famille maternelle et notre champ de bataille... ces racines qui nous attachent à notre famille et nous ancrent dans la terre natale et nous permettent de grandir, nous inscrivant ainsi dans une lignée, un cycle de vie.... Ma chère et regrettée grand-mère, Marie-Marguerite Charlier toute de blanc vêtue en 1919, elle a 14 ans. La photo est prise par l'oncle François de retour du Congo et qui est venu rendre visite à son frère Victor Charlier, fondateur du restaurant des monuments.... Il a offert un magnifique bracelet en ivoire à ses nièces ainsi que deux porte-serviettes en ivoire gravés, l'un avec une feuille de chêne, l'autre avec un poisson. La tante Joséphine qui gère le musée du chemin creux et le magasin de souvenirs pose ici avec son mari, Guillaume, guide assermenté du champ de bataille et la petite soeur de ma grand-mère, Madeleine (10 ans).  A droite, après la cafetière, on peut observer la vitrine que Joséphine sortait tous les jours pour attirer les touristes qui descendaient du tram au monument Gordon. Elle y vendait des petits lions en bronze, des petites cuillères en argent, des bijoux fantaisie, des médailles, et principalement des figurines de Napoléon qui était toujours le préféré.... escamotant le vrai héros et vainqueur du jour de juin 1815..."'' Collection : Véronique Denis.]]
[[Fichier:Hdmonu19.jpg|600px|thumb|right| 1919. Véronique Denis : ''"Une relation indubitable existe entre ma famille maternelle et notre champ de bataille... ces racines qui nous attachent à notre famille et nous ancrent dans la terre natale et nous permettent de grandir, nous inscrivant ainsi dans une lignée, un cycle de vie.... Ma chère et regrettée grand-mère, Marie-Marguerite Charlier toute de blanc vêtue en 1919, elle a 14 ans. La photo est prise par l'oncle François de retour du Congo et qui est venu rendre visite à son frère Victor Charlier, fondateur du restaurant des monuments.... Il a offert un magnifique bracelet en ivoire à ses nièces ainsi que deux porte-serviettes en ivoire gravés, l'un avec une feuille de chêne, l'autre avec un poisson. La tante Joséphine qui gère le musée du chemin creux et le magasin de souvenirs pose ici avec son mari, Guillaume, guide assermenté du champ de bataille et la petite soeur de ma grand-mère, Madeleine (10 ans).  A droite, après la cafetière, on peut observer la vitrine que Joséphine sortait tous les jours pour attirer les touristes qui descendaient du tram au monument Gordon. Elle y vendait des petits lions en bronze, des petites cuillères en argent, des bijoux fantaisie, des médailles, et principalement des figurines de Napoléon qui était toujours le préféré.... escamotant le vrai héros et vainqueur du jour de juin 1815..."'' Collection : Véronique Denis.]]

Version du 26 juillet 2015 à 10:24

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