Gare du vicinal
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1969 : démolition du bâtiment. Pierre Chantraine: ''"Petite anecdote pour ceux qui aiment. Cette petite gare depuis longtemps désaffectée (sauf par les amoureux) et quasi en ruine a été détruite en 1969 pour les fêtes de la Braderie qui furent surtout des, fêtes franco-belges.(7 et 8 septembre) Un comité spécial avait été mis sur pied, à la demande du bourgmestre Paesmans pour les organiser. Il se réunit à de nombreuses reprises sous la présidence de l’échevin Evrard avec comme membres André Taburiaux secrétaire communal, Carette commissaire de police, Gérard Brassart (garage VW), Bouzin directeur de l’IFC (directeur de la société immobilière créateur du lotissement près de la nouvelle place Riva Bella) ainsi que votre serviteur à l’époque président de la maison des Jeunes . Gérard Brassart voulut organiser une grande exposition de voitures sur le terrain vague à la sortie du souterrain en contactant tous les concessionnaires de la région mais…. la gare gênait. Je vois encore l’échevin regrettant qu’aucun budget n’avait été prévu pour la détruire. Alors l’IFC accepta (à titre de sponsoring) de raser le bâtiment à ses frais."'' | 1969 : démolition du bâtiment. Pierre Chantraine: ''"Petite anecdote pour ceux qui aiment. Cette petite gare depuis longtemps désaffectée (sauf par les amoureux) et quasi en ruine a été détruite en 1969 pour les fêtes de la Braderie qui furent surtout des, fêtes franco-belges.(7 et 8 septembre) Un comité spécial avait été mis sur pied, à la demande du bourgmestre Paesmans pour les organiser. Il se réunit à de nombreuses reprises sous la présidence de l’échevin Evrard avec comme membres André Taburiaux secrétaire communal, Carette commissaire de police, Gérard Brassart (garage VW), Bouzin directeur de l’IFC (directeur de la société immobilière créateur du lotissement près de la nouvelle place Riva Bella) ainsi que votre serviteur à l’époque président de la maison des Jeunes . Gérard Brassart voulut organiser une grande exposition de voitures sur le terrain vague à la sortie du souterrain en contactant tous les concessionnaires de la région mais…. la gare gênait. Je vois encore l’échevin regrettant qu’aucun budget n’avait été prévu pour la détruire. Alors l’IFC accepta (à titre de sponsoring) de raser le bâtiment à ses frais."'' | ||
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| + | Luc Van Immerseel:''"Anecdote : La friterie qui se trouvait côté gare juste "à la sortie du tunnel" avait été supprimée juste avant les travaux de rénovation des quais (début des années 1970). "Heureusement", la Friterie Langlet a permis "un repli stratégique" aux nombreux amateurs/trices, et était installée quasiment à la place de l'ancienne gare vicinale, [[Avenue Albert Ier]]. C'était une caravane résidentielle aménagée. Je m'en souviens très bien pour y avoir fait des arrêts "réguliers" ... Plus tard, Mr. Langlet avait dû déménager sa friterie vers la [[Chaussée Reine Astrid]], un peu après le carrefour avec la [[Rue Vallée Bailly]], sur la gauche (en venant de la gare)."'' | ||
[[Fichier:Gare_du_vicinal.jpg|600px|thumb|left|Gare du vicinal, construite en 1896 et démolie en 1969, cinq ans après la fermeture de la dernière ligne. En face, l'avenue Albert Ier. A gauche, la chaussée de Mont-St-Jean, dont le début deviendra la rue Reine Astrid.Source Alain Senterre : '' "Au coin, à gauche, après la guerre 40-45, c'était un café tenu par Louis Aerts ("Louis qu'in bras"). Plus tard, le café fut transformé en magasin de fruits et légumes exploité par Fernand Wautier mais on disait à l'époque chez Van Gen (?)." '' | [[Fichier:Gare_du_vicinal.jpg|600px|thumb|left|Gare du vicinal, construite en 1896 et démolie en 1969, cinq ans après la fermeture de la dernière ligne. En face, l'avenue Albert Ier. A gauche, la chaussée de Mont-St-Jean, dont le début deviendra la rue Reine Astrid.Source Alain Senterre : '' "Au coin, à gauche, après la guerre 40-45, c'était un café tenu par Louis Aerts ("Louis qu'in bras"). Plus tard, le café fut transformé en magasin de fruits et légumes exploité par Fernand Wautier mais on disait à l'époque chez Van Gen (?)." '' | ||
