Rue Bayard

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Voir aussi : Rue des Tisserands, Place du Quartier Saint-Jacques, Avenue des Sorbiers, Chaussée d'Ophain, Percée Denolin, Rue de la Trairée, Usine Vanham, Rue Kattekop

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Le terme wallon bayard désigne une fosse remplie de grosses pierres destinées à absorber le choc d'une chute d'eau. Cette définition s'explique très bien ici étant donné la grande dénivellation qui existe dans le Hain à cet endroit. Source : "Braine-l'Alleud - Origine des noms des lieux-dits et des rues" par Gaston Philippe (Editions Quorum - 1997)

1690 (22 avril) : un violent incendie dévaste le bourg de Braine-l'Alleud : rue des Jambes, du Château, de la Gohette (actuellement de la Goëtte), Bayard, de la Porte (actuellement du Môle), de la Fontaine (actuellement de l'Hôpital), sur le Marché (actuellement Grand-Place),.... 105 maisons (sur 120) sont détruites. A cette époque, la plupart des maisons étaient constituées avec des matériaux (bois, paille, ...) très rapidement inflammables.

1730 : construction du pont Bayard. Auparavant, il n'y avait qu'une planche pour franchir le Hain.

1893 : construction d'un nouveau pont sur le Hain. Selon monsieur Mercier qui habitait l'actuel magasin d'Olivier Stourme, avant ce nouveau pont, la voirie était plus basse et on montait 2 ou 3 marches pour atteindre son corridor alors que maintenant, c'est le contraire, on doit descendre pour y accéder.

Début des années 1920: un certain Devillers-Corré tenait un café appelé "l'Pélerin".

2012 (janvier) : Sacré Matelas bientôt démoli. Voir l'article de La Dernière Heure du mardi 24 janvier 2012

  1(1967): docteur Lefèvre.
  2(1970): cordonnerie "Express" (L.Minne et fils)
  7(1946): maison Edmond Paternotte (constructeur des cycles Le Hain, agence officielle Saréola)
 17,19(années 1950): Baeten Edouard-Pierre (pour vos meubles...)
 21(1955/1967/1971/1984): Photo J.Stourme. Tout pour la photo et le cinéma.
   : Photo vidéo Olivier Stourme (Photographe).
   : LA DECO DE DODO (Voir sur facebook)
 24(1938) : maison Mayné (salon de coiffure)
   : coiffure Dominique.
 26 (depuis fin 2006): Passion et Tradition (Boulangerie). 
 42(1971) : Léon Minne et fils (cordonnerie express)
Pont Bayard, vu de la rue du même nom vers 1900. A l'arrière, les premières maisons de la Chaussée d'Ophain. Le pont fut construit en 1730. Auparavant, il n'y avait qu'une planche pour franchir le Hain. Collection : Jean-Marc Wautier.
Rue Bayard et ses environs vers 1815... Morceau d'un plan présenté à l'exposition : "Braine-l'Alleud 1815 : dans l'assiette de nos aïeux" du 9 juin au 21 octobre 2018 à l'Hôtel de Ville.
1956. A l'arrière plan, la maison Stourme. Collection : Dominique Manandise.
24 août 2010. A droite, le magasin du photographe Olivier Stourme. Photo : Jean-François Piraux.
Mars 2012. Photo : Karl De Mets.
2012. Photo : Olivier Stourme.
31 mars 2012. A droite, le magasin du photographe Olivier Stourme. Photo : Jean-François Piraux.
20 mai 2018. Photo : Jean-François Piraux.
Photo prise vers 1895.Le moulin Bayard, avec à droite, l'entrée de la rue de la Trairée. A l'arrière, l'usine Vanham avec au bout de la passerelle, l'entrée du bureau du concierge. Source : "Glanures au fil du temps - Braine-l'Alleud et son histoire (fascicule n°42)" Association du Musée de Braine-l'Alleud (1999)
Pont Bayard sur le Hain (photo prise vers 1900). A gauche, l'usine Vanham et à droite, le moulin Bayard. Sur la photo, à gauche Edmond Mercier et au centre Idès Linard (comptable de l'usine). Source : "Glanures au fil du temps - Braine-l'Alleud et son histoire (fascicule n°42)" Association du Musée de Braine-l'Alleud (1999).
Pont Bayard sur le Hain, rue Bayard. Photo d'une aquarelle de F.Grislain. Collection : Brania.
Moulin Bayard au début du XXème siècle. Collection : Olivier Stourme.
Carte postée en 1901: moulin Bayard. Collection: Jean-Marc Wautier.
Photo d'une reproduction d'une aquarelle de F.Grislain. Collection : Brania.
Photo parue dans "Le Brabant Illustré" de décembre 1907. Collection : Brania.
Collection : Brania.
31 mars 2012. Photo : Jean-François Piraux.
31 mars 2012. Photo : Jean-François Piraux.
En-tête de lettre des établissements Célestin Diesbecq. Collection : Jacques Defrance.
Agrandissement d'une partie de l'en-tête de lettre : la tannerie de Célestin Diesbecq, rue Bayard. Jean-Marie Laus : "Célestin Diesbecq (1891-1976), tanneur, il succède à son père Augustin en 1912, lequel avait succédé dans cette profession de tanneur à son père Célestin en 1876. Le jeune Célestin devient industriel et créée ses propres usines en 1919. La tannerie est située rue Bayard et la corroierie rue Colo-Hugues. Fabricant de cuirs lissés et corroyés, croutes pour tous usages, ses usines sont pourvues d’un outillage mécanique complet et moderne pour la fabrication des cuirs pour chaussures, maroquinerie, etc. Elles sont les premières qui, en Belgique, ont mis sur le marché et produit en quantité les croutes d’un travail spécial pour maroquinerie et la production de 1950, dans ce genre d’article, atteint journellement plusieurs centaines de peaux. Spécialités : cuirs pour maroquinerie et chaussures ; croutes en tous genres. Il cesse ses activités en 1962. Célestin Diesbecq et son épouse Madeleine Wilputte ont habité le château situé rue des Mésanges, 48 à Braine-l'Alleud de 1941 à 1971, lequel est devenu depuis septembre 2000 la bibliothèque communale." Francine Senterre : "Habitant place du Quartier quand la tannerie rue Bayard était encore en activité, je me souviens que cela ne sentait vraiment pas bon." Collection : Jacques Defrance.
Mai 1927. Publicité parue dans la revue "Connaissances utiles", revue mensuelle de l'Association des Anciens Elèves de l'Ecole Industrielle et Commerciale de Braine-l'Alleud. Collection : Jean-François Piraux.
A la libération : mardi 5 septembre 1944.
L'Annonce Brabançonne du 19 novembre 1938. Collection : Josiane Pierart.
1938 (?). Photo "ressuscitée" par Olivier Stourme. Collection : Brania.
A l'arrière-plan, l'ancien café de l'Ancien Tonneau, tenu par Pierre Senterre dit Pierre Sandrine... Dominique Manandise : "...et surtout par son épouse Germaine." Photo et collection : Olivier Stourme.
1983. Bernadette Eggermont : "Jacques s'est installé dans pas mal de rues de Braine-l'Alleud, d'Ophain et de Bois-Seigneur-Isaac. En 1983, il est même entré dans le café chez Germaine "Au Vieux Tonneau" (actuellement un salon de coiffure), à la rue Bayard, en face du photographe Stourme, pour y "croquer" l'intérieur de l'établissement." Croquis de Jacques Eggermont. Collection : Bernadette Eggermont.
16 octobre 2022. Photo : Jean-François Piraux.
1857. Dessin se trouvant sur un plan de 1857 : maison du tanneur Mercier. Collection : Brania.
Septembre 2012. Détail du tour de la porte du numéro 21, maison datée de 1698. Photo : Olivier Stourme.
24 août 2010. A gauche, le magasin du photographe Olivier Stourme. Photo : Jean-François Piraux.
24 mai 2012. Photo : Olivier Stourme.
Publicité parue dans l'Annonce Brabançonne du jeudi 3 novembre 1955. Collection : Josiane Pierart.
1957. Annonce Brabançonne du jeudi 25 avril 1957. Collection: Josiane Pierart.
1957. Publicité parue dans l'Annonce Brabançonne du jeudi 11 juillet 1957. Collection : Josiane Pierart.
Années 1950/1960. Pochettes de photos Jacques Stourme. Collection : Josiane Pierart.
1973. Publicité parue dans le Calendrier du Commerce du 20 septembre 1973. Collection : Brania.
1984.
18 août 2018: entrée du magasin d'Olivier Stourme. Photo : Olivier Stourme.
Olivier Stourme : "Reçu de mon voisin ! Publicité sur toile peinte des années 50 !"
Vers 1900. Collection : Olivier Stourme.
Carte postée en 1909: vue du pont Bayard. Dans le fond, la rue des Tisserands. A droite, la magasin actuel du photographe Olivier Stourme. Collection : Jean-Marc Wautier.
Collection : Brania.
Pastel de J.Eggermont. Collection : Dominique Manandise.
Photo : Georges De Valkeneer.
A la libération : mardi 5 septembre 1944. Collection : Piraux Jean-François.
A la libération : mardi 5 septembre 1944.
1938 (?). Photo "ressuscitée" par Olivier Stourme. Collection : Brania.
4 août 2011. Photo : Jean-François Piraux.
18 août 2018. Photo : Olivier Stourme.
12 février 2013. Photo : Jean-François Piraux.
Vers 1935 : la fontaine Bayard. Collection : Brania.
1964. Linda Delval: "A gauche, il y a encore les enseignes de la librairie Bonaventure." Bernard Wiame: "C'est bien la librairie. J'y avais un "job d'étudiant" pour 100 francs belges par semaine. Il y avait deux tournées à faire pour délivrer des journaux et magazines et cela fort tôt le matin et par tout temps météo. Un vélo équipé d'une caisse à l'arrière était mis à ma disposition. Monsieur et Madame Bonaventure, de fort gentilles personnes, m'accueillaient en offrant un chocolat chaud et des petits beurres avant le départ. Ils organisaient l'ordre des journaux et magazines selon l'itinéraire de la tournée. Il ne restait plus qu'à déposer en recevant de bons encouragements des clients fort chaleureux. Cela m'a permis notamment de gagner un concours organisé par le journal "Le Soir" (plus grand nombre de bons quotidiens publiés dans le journal récoltés sur un mois, merci les clients). J'ai gagné un tourne-disque "Philips". Beaux moments de ma vie." Collection : Josiane Pierart.
1946. "La Voix Brabançonne" du 26 juillet 1946. Collection : Brania.
15 octobre 1946. Philippe Buchelot:"La maison de cycles Paternotte Edmond était située rue Bayard, au 7. L'épouse d'Edmond Emelie Vandercruysen était une condisciple de ma grand-mère, dont les parents résidaient rue Bayard. Edmond Paternotte est né à Haut-Ittre en 1915 et c'est au mariage avec Emelie Vandercruysen qu'il a reprit l'ancien atelier de charron de son beau-père. Comme il était mécanicien (formé à Braine-le-Château) et passionné pour la motorisation, il a transformé cet ancien atelier en magasin de réparations et réglages pour motos, la concurrence étant déjà bien installée à Braine pour les cycles (Hofmann, Mertens etc...)." Collection : Josiane Pierart.
Photo Olivier Stourme.
24 août 2010. Photo : Jean-François Piraux.
23 août 2012. A gauche, la Rue des Tisserands. Photo : Jean-François Piraux.
Philippe Buchelot: "Jules-Joseph Severin (Voir aussi Anciens Brainois) fit construire en 1868 cette grosse demeure bourgeoise qui fait l'angle de la rue Bayard et la Rue des Tisserands. Il fait pour cela abattre, des granges séculaires qui appartenaient au fermier Philibert Minne (Rue de l'Hôpital). C'est chez lui que se déroule une partie de la réception officielle de l'Archevêque de Malines Mgr Goossens le 29 août 1886." Anne-Marie Vanhouche: "...et puis la famille Vanham, avant le docteur Lefèvre...". Photo : Etienne Wilmet.
1974. Carrefour avec la Rue des Tisserands. Collection : Michel Vanderborght.
12 février 2018. Photo : Jean-François Piraux.
6 août 2020. Photo : Jean-François Piraux.
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